Savez-vous que loin de se priver les véganes qui prennent le temps de cuisiner un peu se régalent de bons petits plats. Faciles à faire, ils sont en plus excellents pour notre santé et préservent la planète. Je vous livre ici mes recettes préférées !
On démarre avec un houmous, non pas à base de pois chiches mais de …haricots rouges !
Louise Michel est la plus célèbre femme de la Commune de Paris de 1871. Elle a laissé de nombreuses traces dans les rues de la capitale et en banlieue. Des lieux à découvrir au fil des arrondissements parisiens et à Levallois-Perret, où elle repose.
Citation de Louise Michel, rue des Thermopyles, Paris 14, photo Léa Drouelle
Louise Michelest institutrice quand elle débarque à Paris en 1855, à l’âge de 25 ans. Elle s’installe tout d’abord à Montmartre dans la pension de Madame Vollier, 88 boulevard des Batignolles(17ème) Elle exerce son métier de sous-maîtresse à l’école du 14, rue du Château d’eau (10ème arrondissement). Parallèlement, elle s’inscrit aux cours d’instruction populaire de larue Hautefeuille (6ème). Très vite, elle donne aussi des cours supplémentaires à « l’école professionnelle « de la rue Thevenot ( 2ème), aujourd’hui rue Réaumur. En 1865, elle ouvre à Montmartre un externat au 24rue Houdon.(18ème). Puis un autre cours en 1868 toujours à Montmartre rue Oudot (12ème) où elle dispense à ses élèves une instruction libertaire.
« Le choix du roi », l’école « maternelle », « l’instinct maternel, c’est inné », « c’est un vrai garçon manqué ! », » t’as tes règles ou quoi ? » , « c’est pas un truc de fille »… Autant d’expressions sexistes que nous utilisons toutes et tous, la plupart du temps sans y penser. Pourtant elles véhiculent à « bas bruit » le sexisme ordinaire qui contribue à maintenir des siècles de domination masculine. D’où l’urgence de les déconstruire ou mieux de les bannir de notre langage.
Il faut arrêter de prendre les blondes pour …des blondes notamment via les blagues sexistes, photo pexels
Le temps est plus que venu de faire attention aux phrases que nous prononçons. En effet, elles véhiculent des clichés sexistes, parfois sans nous en rendre compte, parce qu’elles font partie du « paysage » depuis tellement longtemps. Or, si nous voulons construire une société égalitaire, il est urgent d’expurger de notre langage toutes ces expressions. Car elles contribuent au mieux à maintenir des différences entre les sexes et au pire à nous dévaloriser.